Même si l’on n’y connait pas grand chose en pierres et métaux précieux, on peut aisément s’imaginer que les volumes d’argent que génère ce business sont absolument énormes. Jusqu’à il y a une vingtaine d’années, les entreprise set autres négociants présents sur ce marché n’avaient pas une image très positive. Cela était évidemment du aux nombreux scandales liés à la vente de pierres précieuses en Afrique, en particulier le financement de guérillas violentes et le travail des enfants dans des conditions affreuses. Aujourd’hui nous explique James Mountary, un français qui est en contact avec de nombreux acteurs du marché des pierres précieuses en Afrique, la situation a évolué très positivement sous la pression de la communauté internationale et les anciennes pratiques n’ont presque plus cours.
Un système pour assurer la traçabilité des diamants.
James Mountary continue en précisant que désormais il est possible de garantir de façon quasi certaine la provenance des diamants bruts. Il existe en effet des procédures strictes destinées à assurer la traçabilité pour les pierres précieuses. Pas question nous dit James Mountary de s’en affranchir, à l’heure actuelle une pierre précieuse qui n’est pas accompagnée d’un certificat de validité délivrée par les autorités compétentes du pays d’origine ne peut être vendue de façon officielle.